Résumé
Valérian et Laureline sont des agents spatio-temporels du gouvernement des territoires humains, chargés de maintenir l’ordre dans l’univers. Valérian ambitionne depuis longtemps de dépasser le stade des simples relations professionnelles qui le lient à sa partenaire. Mais sa réputation de séducteur se heurte aux valeurs un peu "traditionnelles" de Laureline qui va continuellement repousser ses avances. Sous la direction de leur Commandant, Valérian et Laureline embarquent pour une mission sur l’incroyable cité intergalactique Alpha, une mégalopole en perpétuelle expansion constituée de milliers d’espèces différentes, issues des quatre coins de l’univers. Les 17 millions d’habitants d’Alpha se sont organisés au fil du temps, unissant leurs talents, leur technologie et leurs ressources pour le bien de tous. Malheureusement, sur Alpha tout le monde ne poursuit pas les mêmes objectifs ; en réalité, des forces invisibles sont à l’œuvre et mettent notre espèce en grand danger.
Mon point de vue
Un film tout en spectacle, d’imageries galactiques et d’actions héroïques. C’est énorme le travail qu’il y a dernière toutes ces couleurs, ces mondes, ces personnages. C’est juste surprenant !
L’histoire, dans des mesures apocalyptiques bien évidement tient la route, les paysages sont beaux. L’humour, le second degrés sont là, sans exagération, c’est léger et il n’en fallait pas plus. Il faut appréhender un tel spectacle pour les plus vieux d’entre nous, avec une âme d’enfants. Pour ceux qu’il l’aurait définitivement perdu, passez votre chemin…
Bien sûre les valeurs du bien et du mal y sont largement symbolisées et moralisées. Les personnages sont beaux, les décors aussi, la cadences est bonne. Cependant l’émotion entre les deux héros manque d’intensité. Ceci dit, Luc Besson a réalisé un monstre de film !
On y voit un univers “Starwarisé” et “Avatarisé”, notamment le vaisseau des deux héros qui a la forme du Faucon Milléniumou ou presque. Les costumes des gradés reflètent l’univers Starwars et idem pour le son des vaisseaux. Les premières créatures aux visages humains sont aussi très proches d’Avatar, mais ce serait mesquin de refouler ce film pour seule raison des similitudes graphiques.
En bref, C’est un long métrage Français énorme, exporté dans le monde entier, c’est un moment de spectacle garantie. Tous cinéphiles se doivent d’aller voir le petit dernier Besson, qui pour le rappel, a dédié ce film à son père.
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